Papuina pulcherrima (Rensch, 1931)

Yep un must et ce le serait encore plus si à 70 € pièce je pouvais me débarrasser de deux des trois qu'il me reste. 
Du coup je vais les emmener à la Rochelle 

Bonjour Michel

Il sont interdits à la vente.....

Victor

Mais ... 
Je ne les emmène que pour les montrer 

Maintenant c'est bon  et merci par avance pour le temps passé et la gentillesse. Si vous avez des cônes à identifier je connais bien Georges RICHARD.

Un autre de 40 mm et provenance inconnue

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Correct. Voilà une coquille recherchée.

Bravo

Zonatus a écrit:Dommage que le beau periostracum vert ait disparu.

Le coup de Javel en trop !

C'est possible, je n'est jamais rencontré le précédent propriétaire, il était malheureusement décédé quand sa fille me les a donnés.

Une image qui sort du message d'un copain FB.

Où on voit une coquille traitée à moitié ou à moitié traitée avec les dames pas très contentes du sort de la coquille ...

L'affaire est pliée, pas de notion d'environnement plus sec ou moins humide pour la forme jaune. C'est juste la Javel qui fait le boulot. Je n'ai jamais osé le faire avec les deux miennes.  

Peut-être que quelqu'un va lui donner unnom, Papuina pulcherrima double facensis (Batman, 2020) : espèce très rare

Je pense que cette coquille ira bien dans ce post , je l'ai eu en cadeau avec le data et tout et je la trouve très belle .

Et s'il s'agissait d'un lavage "naturel" à l'eau de pluie du périostracum vert pour devenir jaune en saison sèche juste pour favoriser le camouflage. Cela me semblerait être une explication possible.

Les spécimens jaunes et trouvés morts (ou vivants ?) dans la nature ne sont pas passés dans l'eau de javel.

Pour celui de Phil Helix / Mer 15 Jan 2020 - 19:46. peut-être trouvé mort à moitié immergé (mais resté en surface suivant la ligne de flottaison) dans une flaque d'eau .

Celui de Phi-Helix : à moitié enterré plutôt (partie verte), le reste à l'air ou dans l'eau (partie blanche) 
Didier

Pour mon post du 15janvier 2020, c'est effectivement une coquille passée à moitié à l'eau de Javel. Et la furie des dames avec le "tue-le" devrait être assez explicite sur l'utilisation abusive de l'eau de Javel sur les coquilles de mollusques continentaux !!

Pour les explications des autres spécimens comme ceux présentés par R. T. Abbott dans son bouquin de 1989, il s'est fait avoir ou est allé un peu vite en conclusion. Pas grave c'était dans un des premiers livres généraliste sur les espèces continentales (qui reste toujours utile et agréable à feuilleter !) et le monsieur bossait et produisait énormément dans tous les pans de la malacologie. Ceci explique cela.