Talostolida teres janae (Lorenz, 2002)

Une autre :

24.90 mm - Tuamotu

Ok pour une Talostolida teres janae : pas de tache dorsale, motif en zigzag, gros bourrelet postérieur et petite taches dur les deux marges. Si le specimen est frais, un peu de violet sur le siphon antérieur.

tanitou02 a écrit:Si le specimen est frais, un peu de violet sur le siphon antérieur.

Oui, c'est une caractéristique de l'espèce. Ici, nous ne pouvons voir qu'une légère trace de teinte, mais sur les autres coquilles du sujet, c'est mieux visible 

J'ai récupéré cette Cypraea dans une ancienne collection avec comme data :

Cypraea subteres, Tuamotu, Tikehau, 1975 

Z'en pensez quoi ? Si c'est une subteres, alors c'est une violacincta (que certains élèvent au rang d'espèce, c'est pas clair) à cause des dents labrales développées. Mais est-ce vraiment une subteres, ou simplement une teres ? Vu qu'elle a 47 ans, on peut imaginer que les nuances mauves des extrémités se soit affadies avec le temps.  

Elle mesure 23 mm.



Merci pour vos lumières.

Peut-être plus teres janae, que subteres !

Est-ce qu'il y a une clé de détermination incontestable ?

" Le péristome est fortement strié ce qui est la marque de Talostolida subteres violacincta d' après Randy Bridges. "

Selon Lorenz :

subteres : dens labiales courtes
(subteres) violacincta : dents labiales longues.

OK, mais la différence entre teres janae et subteres ? Page 231 de Cowries Vol.2, Lorenz illustre une teres janae des Tuamotu (numéro 3) avec comme légende : "Note similarity to subteres f. violacincta".

(Donc en plus, page 231 violacincta est une forme de subteres, et page 237 une espèce à part entière...). Ca ne va pas m'aider ;-)

A 100 % Talostolida teres janae si le data est correct car la base translucide induit un doute mais peutêtre la coquille n'est pas totalement adulte.
Il y a des différences avec T. subteres et T. violacincta qui sont considérées par Lorenz comme deux espèces distinctes depuis que la seconde a aussi été récoltées aux Tuamotu (patrie de T. subteres) en plus de la Société [c'est expliqué dans le Volume 1 du Cowries de LMorenz]. Les dents du spécimen photographié qui s'étendent sur le bord columellaire de la base, la marche entre la callosité labiale et la dos, les rares ponctuations latérales sont indicatives de T. teres sans équivoque.

+1 teres janae

Ok, merci à tous !